POUR CLEMENT ET TOU.TE.S LES AUTRES VICTIMES DU FASCISME : NI OUBLI, NI PARDON !

5 JUIN 2013, 3 ans que notre camarade Clément est décédé sous les coups des fascistes.
5 JUIN 2013, 3 ans que la justice refuse de juger les coupables de ce crime politique et continue de juger les syndicalistes, les militant-e-s de classe et les militant-e-s qui se battent pour une autre société. 3 ans encore que l’État et sa police ne cessent de harceler et d’assassiner les habitant-e-s des quartiers populaires (Zyed et Bouna, Lamine Dieng, Amine Bentousi et tant d’autres encore), toujours en acquittant les responsables des crimes. Syndicalistes de GoodYear, manifestant.e.s arrêté.e.s lors des manifestations pour Rémi Fraisse, ou plus récemment contre la loi travail, condamné.e.s à de la prison ferme quand les meurtriers de Clément courent toujours impunément. Et quand les fascistes bénéficient d’une impunité judiciaire lorsqu’ils tabassent, poignardent et intimident nos camarades, ce sont les syndicalistes de la CNT qui se font violemment attaquer leurs locaux par la police à Lille.
5 JUIN 2013, une date pour se rappeler que chaque jour des antifascistes tombent encore pour une société sans classe. Carlos Palomino, Carlo Giulani, Kostja Lunkin, Killah P., etc, chaque pays compte ses mort-e-s et leurs combats continuent à vivre dans nos luttes. Une date aussi pour se rappeler que le combat antifasciste amène nos camarades révolutionnaires à croupir dans les geôles des régimes bourgeois à travers le monde (Alexander Kolchenko, Oleg Sentsov, Georges Abdallah ou encore les militants de Lutte Révolutionnaire).
5 JUIN 2016, 3 ans après, la montée des idées du Front National et la banalisation des discours racistes, islamophobes, misogynes, homophobes, sexistes et de domination de genre, continuent de servir la crise du capitalisme que nous vivons au quotidien. L’extrême droite, du FN aux identitaires, s’affirme toujours plus dans son discours anti ouvrier, anti syndicaliste, contre le progrès social mais pour la préservation des privilèges racistes ou de classe. Stigmatisant les immigré.e.s, les femmes voilées, les sans-papiers et en général toutes les personnes subissant le racisme, les États font la part belle à la progression des nationalismes de droite comme de gauche en prétextant l’union nationale face à des supposés ennemis de l’intérieur.
5 JUIN 2016, 3 ans après, on ne peut que constater que le fascisme et différents courants réactionnaires se renforcent en Europe. Guerre civile en Ukraine où s’affrontent les néo-nazis de Pravy Sektor et de Svoboda à l’impérialisme russe, montée du parti néo nazi en Hongrie face au déjà très autoritaire et raciste Viktor Orban, le parti d’extrême droite FPÖ en Autriche en tête des élections nationales, construction d’une frontière imperméable aux réfugié-e-s et migrant-e-s aux portes de l’Europe fuyant les conflits que les États impérialistes provoquent un peu partout sur la planète. Il faut également constater que cette situation ne se limite pas à l’Europe. Aux États Unis, Donald Trump reprend à son compte les thèses de l’extrême droite locale comme internationale. L’État Turc, allié de l’Union Européenne, continue toujours sa guerre vis à vis des populations kurdes, alévis, arméniennes ou tout autres minorités opprimés et renforce toujours plus son autoritarisme. Que l’État Français encore soutien les régimes réactionnaires d’Iran, des monarchies du Golfe, du Maroc ou de Tunisie, tandis que sur place, les forces progressistes se font assassiner et réduire au silence.
5 JUIN 2016, 3 ans après, les militant-e-s fascistes continue de courir dans les rues. Les agressions racistes, sexistes et homophobes se multiplient, que ce soit dans la rue ou à l’encontre d’espace militant. Nous nous devons de continuer à mener, dans toutes nos luttes, sur nos lieux de travail et de vie, la lutte antifasciste et révolutionnaire, en ne laissant aucun espace de visibilité ou d’action aux organisations d’extrême droite et à toutes leurs nébuleuses conspirationniste qu’elle traîne dans leurs girons. Plus que jamais, nous devons construire une riposte populaire et affirmer que la lutte antifasciste ne peut être que solidaire de tous-tes les exploité-e-s, ici comme ailleurs.

 

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Marche des Fiertés Toulouse 2016 Nos fiertés sont solidaires et sans frontières !

 

Le 28 juin 1970 ont lieu les premières Marches des Fiertés à Los Angeles et à New-York en mémoire aux émeutes de Stonewall qui s’étaient déroulées un an auparavant. Émeutes contre la répression étatique et policière où trans, pédés, putes, gouines, sans papièrEs et personnes racisées se sont organiséEs ensemble face aux forces de l’ordre, résistantEs aux raids anti-émeutes, déstabilisant la police pendant près de cinq jours et rejetant les violences contre les minoriséEs : ça, ce sont les émeutes de Stonewall !

Et c’est cette mémoire-là qui était mise en avant dans les premières Gay Pride des années 1970. C’est cette mémoire que nous avons à cœur de commémorer.

Aujourd’hui, les Marches des Fiertés, alors qu’elles sont censées commémorer ces événements, sont devenues une foire consumériste et un lieu de récupération électoraliste de nos luttes, avec la présence de partis politiques institutionnels, d’associations religieuses et même d’associations de flics.

Parce que les luttes d’hier, d’aujourd’hui et de demain nous appartiennent : rappelons-nous Stonewall ! Et souvenons-nous que dans le monde 72 pays pénalisent toujours les personnes LGBTQI par de la prison, de la torture, la peine de mort ou des travaux forcés et que de nombreux autres adoptent des législations LGBTQIphobes (notamment en Pologne, Hongrie, Russie et certains États des USA : Caroline du Nord, Texas…)

En France, les élections de 2012 avaient faussement créé une vague d’espoir avec des promesses concernant la parentalité, les droits des trans, le don du sang et le mariage entre personnes de même sexe, la fin des franchises médicales, la fin de l’interdiction des soins funéraires pour les personnes séropos… On aurait aussi pu penser que ce gouvernement mènerait une réelle politique sociale de santé et de lutte contre le Sida. 4 ans plus tard, force est de constater qu’il n’en est rien : nous sommes toujours stigmatisées, rejetées, invisibilisées et assassinées. La situation a même empiré :

-Droit des trans et inters : aucune avancées pour les personnes trans et inters, toujours stigmatisées et psychiatrisées;

-Renoncement sur à la PMA;

-Hausse des LGBTQIphobies : violences physiques, verbales, psychologiques, administratives, étatiques ayant des conséquences sur nos vies (isolement, exclusion, haine de soi, perte de confiance, dépression, suicide…);

-Fausse avancée sur le don du sang : pour donner son sang, les HSH (Hommes ayant des rapports avec des hommes) sont contraints par la loi à un an d’abstinence;

-Mise en danger des travailleurs-es du sexe : sous couvert de « protéger » les putes avec la pénalisation des clients, le gouvernement a fait adopter une loi qui, dans les faits, va les pousser à s’éloigner des centres-villes, les exposant encore plus aux violences et au risque de contaminations VIH/Hépatites;

-État d’urgence : restrictions de nos libertés et mise en place d’un État policier où les personnes les plus discriminées sont parmi les premières victimes;

-Flambée d’actes à caractères racistes et islamophobes jusque dans nos communautés;

-Durcissement de la politique migratoire via une augmentation des expulsions de personnes mises en danger dans leur pays d’origine en raison de leur orientation sexuelle, de leur identité de genre et de leur santé;

-Politiques d’austérité (notamment dans le domaine de la santé);

-Absence d’investissement dans la lutte contre le Sida;

-Maintien de l’interdiction des soins funéraires et des franchises médicales pour les personnes séropositives;

-Loi Travail : les visites obligatoires à la Médecine du travail pourront être réalisées par n’importe quel professionnel de santé et non plus uniquement par un médecin.. Des questions comme le VIH et celle des personnes en transition sont toujours passées sous silence.

Il est donc d’autant plus important de s’organiser, car nous sommes conscientEs qu’il ne faut pas compter sur les prochaines élections présidentielles pour voir la situation s’améliorer.

N’oublions pas que nos communautés ne sont pas exemptes d’oppressions et de rapports de dominations : racisme, antisémitisme, islamophobie, follophobie, sexisme, sérophobie, LGBTQIphobies….

De plus en plus de personnes cèdent aux sirènes du nationalisme et de l’extrême droite ! Ce n’est qu’en combattant toutes les formes d’oppressions à l’extérieur et à l’intérieur de nos communautés et en concrétisant nos solidarités que nos luttes avanceront !

Nous refusons l’homonationalisme qui promeut une identité homosexuelle nationale, à travers notamment des politiques de pinkwashing. Cela consiste pour les pays occidentaux, comme la France et les États-Unis, à promouvoir une image progressiste et tolérante gay-friendly afin de justifier des guerres, des politiques coloniales et racistes.

En Israël nous dénonçons cette volonté de solidariser les LGBTQI à la colonisation des terres palestiniennes (exemple, lors de la Marche des Fiertés de Paris il est offert des séjours à Tel-Aviv).

Nous invitons les LGBTQI en France et en occident à être solidaires des queers palestinienNEs et à boycotter cette propagande politique.
Nous affirmons ici que nos identités ne sont pas nationales ! Elles sont solidaires et sans frontières !

Refusons de nous rendre invisibles !
Soyons fièrEs des multiplicités de nos identités et de leurs expressions !
Ne laissons plus personne porter atteinte à nos libertés, à nos corps, à nos désirs, à nos identités, à nos amours ! Refusons de nous taire !
Soyons en colère ! Passons à l’offensive !

Ensemble, nous riposterons tant qu’il le faudra !

Signataires : Act Up Sud-Ouest CNT Grisélidis OCML-VP Planning Familial 31 STRASS UAT13346575_226209747764762_8345664460008006486_n

Marche de nuit contre les violences LGBTQIphobes le 16 mai à Toulouse Trans, pédé, biEs, gouines, putes, intersexes, queers : contre les violences, ripostons!

Trans, pédé, biEs, gouines, putes, intersexes, queers : contre les violences, ripostons!

Marche de nuit contre les violences LGBTQIphobes le 16 mai à Toulouse, 20h – Métro Carmes

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Les violences LGBTQIphobes n’ont pas cessé d’exister. Elles s’expriment tous les jours dans nos vies :
Quand on entend « sale gouine » dans le métro,
Quand on se fait casser la gueule dans la rue,
Quand on entend « tu crois que c’est un homme ou une femme »?,
Quand (même) nos proches n’acceptent pas nos identités,
Quand notre identité est considérée comme une mode ou une passade,
Quand nos propres communautés nous stigmatisent parce que nous ne renvoyons pas la bonne image (« grosse », « folle », etc),
Quand on nous force à être stériliséEs et psychiatriséEs parce qu’on est trans,
Quand on est une meuf trans incarcérée dans une prison pour mecs,
Quand on nous impose des mutilations génitales et hormonales dès notre plus jeune âge, ou à n’importe quel âge, parce qu’on est intersexe,
Quand les Lois nous mettent en danger et nous isolent, nous et nos proches, quand on est travailleurs-ses du sexe,
Quand nos clients sont pénalisés,
Quand nos luttes sont réduites au droit de se marier,
Quand on nous refuse la parentalité,
Quand on doit taire et cacher nos identités pour trouver du travail et espérer le garder,
Quand nos collègues nous proposent un plan à trois parce qu’on est biE,
Quand les prud’hommes jugent que « pédé » n’est pas homophobe quand on est coiffeurs,
Quand, dans les manifs, on entend des « camarades » traiter les flics d’« enculés » et de « fils de pute »,
Quand on nous impose de cocher F ou M dans un formulaire,
Quand l’État français nous refuse l’asile alors qu’on risque la mort dans notre pays de naissance,
Quand l’État nous expulse quand on est sans‑papiers et séropo,
Quand on nous demande si on est « clean »,
Quand, pour donner notre sang, on nous impose l’abstinence pendant douze mois,
Quand l’État nous refuse les soins funéraires parce qu’on est séropo…

En plus des LGBTQIphobies, beaucoup d’entre nous subissent d’autres oppressions : racisme, sexisme, validisme, antisémitisme, islamophobie, sérophobie…

Toute cette multitude de violences physiques, verbales, psychologiques,administratives, étatiques a des conséquences sur nos vies : isolement,exclusion, haine de soi, perte de confiance, dépression, suicide

Les violences LGBTQIphobes nous tuent !
Refusons de nous rendre invisibles !
Soyons fierEs des multiplicités de nos identités et de leurs expressions !
Ne laissons plus personne porter atteinte à nos libertés, à nos corps, à
nos désirs, à nos identités, à nos amours ! Refusons de nous taire !
Soyons en colère ! Passons à l’offensive !

Ensemble nous riposterons tant qu’il le faudra ! Ensemble, à la veille de la Journée mondiale de lutte contre les LGBTQIphobies, marchons !

Rendez‑vous le 16 mai, à 20h, métro place des Carmes.

Premiers soutiens: Des individuEs, Act Up Sud Ouest, Collectif Antifasciste du Mirail, CNT 31,OCML VP, Strass, UAT… 13237657_1086971181360074_4821207197887415234_n

Marche de nuit contre les violences LGBTQIphobes Trans, pedes, biEs, gouines, putes, intersexes, queers : contre les violences, ripostons !

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Marche de nuit contre les violences LGBTQIphobes

Trans, pedes, biEs, gouines, putes, intersexes, queers : contre les violences, ripostons !

Les violences LGBTQIphobes n’ont pas cessé d’exister. Elles s’expriment tous les jours dans nos vies :
Quand on entend « sale gouine » dans le métro
Quand on se fait casser la gueule dans la rue
Quand on entend « tu crois que c’est un homme ou une femme »?
Quand (même) nos proches n’acceptent pas nos identités
Quand notre identité est considérée comme une mode ou une passade
Quand nos propres communautés nous stigmatisent parce que nous ne renvoyons pas la bonne image (« grosse », « folle », etc)
Quand on nous force à être stériliséEs et psychiatriséEs parce qu’on est trans
Quand on est une meuf trans incarcérée dans une prison pour mecs
Quand on nous impose des mutilations génitales et hormonales dès notre plus jeune âge, ou à n’importe quel âge, parce qu’on est intersexe
Quand les Lois nous mettent en danger et nous isolent, nous et nos proches, quand on est travailleurs-ses du sexe
Quand nos clients sont pénalisés
Quand nos luttes sont réduites au droit de se marier
Quand on nous refuse la parentalité
Quand on doit taire et cacher nos identités pour trouver du travail et espérer le garder
Quand nos collègues nous proposent un plan à trois parce qu’on est biE
Quand les prud’hommes jugent que « pédé » n’est pas homophobe quand on est coiffeurs
Quand, dans les manifs, on entend des « camarades » traiter les flics d’« enculés » et de « fils de pute »
Quand on nous impose de cocher F ou M dans un formulaire
Quand l’État français nous refuse l’asile alors qu’on risque la mort dans notre pays de naissance
Quand l’État nous expulse quand on est sans‑papiers et séropo
Quand on nous demande si on est « clean »
Quand, pour donner notre sang, on nous impose l’abstinence pendant douze mois
Quand l’État nous refuse les soins funéraires parce qu’on est séropo…

En plus des LGBTQIphobies, beaucoup d’entre nous subissent d’autres oppressions :racisme, sexisme, validisme, antisémitisme, islamophobie,sérophobie

Toute cette multitude de violences physiques, verbales, psychologiques,administratives, étatiques a des conséquences sur nos vies : isolement,exclusion, haine de soi, perte de confiance, dépression, suicide

Les violences LGBTQIphobes nous tuent !
Refusons de nous rendre invisibles !
Soyons fierEs des multiplicités de nos identités et de leurs expressions !
Ne laissons plus personne porter atteinte à nos libertés, à nos corps, à
nos désirs, à nos identités, à nos amours ! Refusons de nous taire !
Soyons en colère ! Passons à l’offensive !

Ensemble nous riposterons tant qu’il le faudra ! Ensemble, à la veille de la Journée mondiale de lutte contre les LGBTQIphobies, marchons !

Rendez‑vous le 16 mai, à 20h, métro place des Carmes.

Premiers soutiens: Des individuEs, Act Up Sud Ouest, Collectif Antifasciste du Mirail, CNT 31 Grisélidis,Jules et Julies, OCML VP, Planning Familial 31 Strass, UAT…

Publications récentes

1er mai 2016 : Sérophobie : au boulot aussi ça suffit !

Après 35 ans d’épidémie de sida, les discriminations à l’égard des personnes vivant avec le VIH (PVVIH) reste une réalité à dénoncer et à sanctionner car elles entravent l’accès aux droits et renforcent l’exclusion sociale.

Ces discriminations sont multiples et transversales, exercées par l’État, l’administration, les employeurs, et la société dans son ensemble. Elles sont le reflet de préjugés qui réduisent inlassablement les personnes à leur séropositivité. Ces peurs sont infondées et poussent les personnes vers une marginalisation sociale.

Ces pratiques discriminatoires ont un impact sur leur santé, leur qualité de vie, l’accès à l’emploi, le maintien dans l’emploi. De plus, on assiste à une dépossession de leurs moyens d’action et de réflexion en ne prenant jamais en compte leur avis sur leur propre corps et santé alors que chaque personne malade est experte de sa pathologie.

Ces discriminations sérophobes nous renvoient au stigmate social rappelant cruellement les situations vécues dans les années 80. En complément de ce problème, les LGBTIphobies (Lesbien, Gay, Bi Trans, Intersexe) font partie de l’aggravation de ce climat délétère, notamment avec l’arrivée de la « Manif pour Tous ». Ces discriminations persistent et renvoient perpétuellement les personnes touchées par le VIH à leur statut de malade voire dans certains cas de « danger » pour la société.

On peut alors parler de dénis de droits vécus par les personnes concernées comme de véritables humiliations et atteintes à leur dignité engendrant le fait que parler de sa pathologie s’avère de plus en plus difficile au travail et, plus généralement, dans la société qui encore aujourd’hui a des difficultés à lever le tabou de la séropositivité.

Les personnes atteintes du VIH ne sont ni inaptes, ni dangereuses pour la société, elles sont juste séropositives et devraient pouvoir, sans crainte, verbaliser le vécu de leur pathologie dans tous les champs de la vie quotidienne.

Ce n’est pas en discriminant, en marginalisant les personnes atteintes du VIH que nous vaincrons l’épidémie, bien au contraire, ces processus accentuent l’augmentation des contaminations et sont des freins à bien vivre sa pathologie dans le cadre de l’emploi ainsi que dans le quotidien.

Act Up Sud Ouest
– lutte contre ces pratiques discriminatoires à l’encontre des personnes séropositives, qui existent aussi au sein même de la communauté LGBT.
– milite pour que les personnes concernées cessent de subir ces stigmatisations et en appelle à une prise de conscience, c’est uniEs et ensemble que nous parviendrons à y mettre fin.